Vue sur l'Acropole à Athènes
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Un grand week-end à Athènes

Aujourd’hui je vous emmène à Athènes, la plus grande ville et la capitale de la Grèce. On la surnomme la cité d’Athéna ou le berceau de la civilisation occidentale de part son riche passé.

Nous sommes partis du samedi 27 au mercredi 31 mai 2017 avec la compagnie aérienne Ryanair. L’aller-retour nous a coûté 80,56€ par personne. Il faut compter entre 3h10 et 3h30 de vol depuis l’aéroport de Bruxelles-Charleroi. Il y a ensuite 1h de trajet en bus pour rejoindre le centre-ville qui se situe à environ 35km de l’aéroport. Nous avons choisi le bus X95, plus économique (6€ en 2017) que le trajet en métro et circulant 24h/24. Il nous a déposé place Syntagma, au cœur d’Athènes.

Jour 1

Seulement quelques minutes après notre arrivée, en attendant à un passage piéton, nous avons vu une femme se faire renverser par une voiture. Nous sommes donc allés comme d’autres passants à son secours : rien de grave heureusement ! La circulation est importante et certains véhicules roulent vite dans Athènes. Nous avons également pu observer beaucoup de chauffeurs de deux-roues sans casque et de nombreux feux rouges grillés. Bref, il y a mieux pour commencer un séjour et le temps était assez couvert…

Nous avons rejoint à pied notre logement depuis la place Syntagma, un appartement réservé comme souvent sur le site Airbnb (141,22€ les 4 nuits). Après avoir installé nos affaires, nous nous sommes dirigés vers la place Omónia. Elle n’a pas beaucoup de charme ni d’intérêt selon moi, pas de belles façades, beaucoup de câbles… L’endroit est fréquenté car c’est un carrefour incontournable pour les transports en commun. Il n’est toutefois pas forcément recommandé lorsqu’on est seul le soir.

Stani

Le guide nous conseillait une petite « pause lactée » chez Stani situé 10 rue Marika Kotopouli. Nous y avons dégusté deux de leurs spécialités, pour moins de 9€. Pour ma part, j’ai choisi le fameux yaourt grec, servi généreusement accompagné de noix et de miel. J’ai également goûté le baklava de mon chéri, servi avec deux boules de glace. C’est une bonne adresse, bien classée sur Tripadvisor (Nº 4 sur 161 Desserts à Athènes) et autres.

Nous avons ensuite repris la route direction la place Kotzia d’où on peut voir l’hôtel de ville (rue Athinas) et des vestiges antiques. Dans la rue Eolou, d’autres vestiges sont visibles au niveau d’un bâtiment. Non loin de là, le marché central est ouvert du lundi au samedi de 7h à 18h, fermé après 15h en ce samedi.

Exárcheia

Nous nous sommes dirigés vers la rue Panepistimiou, qui fait partie des trois grandes avenues parallèles avec Stadiou et Akadimias. On y trouve côte à côte : la bibliothèque, l’Université et l’Académie d’Athènes. Il s’agit de trois beaux bâtiments construits entre 1839 et 1888, semblables à des temples antiques, qui valent le détour. Devant l’Académie se trouvent deux colonnes de 19 mètres de haut surmontées de statues représentant Athéna et Apollon.

En rejoignant la rue Stadiou, on découvre l’église de Saint Théodore, édifice religieux byzantin du XIème siècle. On repère ensuite une statue équestre de Theodoros Kolokotronis, général grec et héros de la Guerre d’indépendance grecque.

On rejoint notre lieu d’arrivée : la place Syntagma, où règne une animation permanente. Au pied du parlement, on assiste à la relève de la garde qui a lieu toutes les heures. Ce moment vaut le petit détour pour son originalité.

Les Evzones restent jour et nuit devant la tombe du Soldat inconnu. Ils forment l’unité d’élite qui veille sur le parlement et le palais présidentiel. Aussi, ils assurent la garde d’honneur du président. Ce sont les personnages les plus photographiés du pays. Ils portent un uniforme traditionnel et font claquer les clous de leurs chaussures rouges à pompon sur le marbre.

Nous pensions faire quelques courses en fin de journée mais les magasins ferment assez tôt le samedi : 16h pour celui-lui que nous avions repéré. Le rythme n’est pas le même qu’en France, il y a aussi 1h de décalage horaire. Nous sommes donc rentrés à l’appartement nous accorder un petit repos avant de ressortir un peu plus tard. Nous sommes partis à 6h30 de chez nous le matin et le réveil a donc été très matinal.

Athinaïkon

Nous avons mangé non loin de la place Omonia, au restaurant Athinaïkon (2, Themistokleous). Dès que l’on s’installe à une table à Athènes, la première chose que les serveurs font c’est nous apporter une bouteille d’eau fraiche et deux verres.

Monsieur a choisi une salade grecque, composée de morceaux de tomates, concombres, poivrons, oignons, olives noires, ainsi qu’un assaisonnement et une grosse tranche de feta. Pour ma part, j’ai pris des dakos crétois. C’est une sorte de petite salade de tomates, feta et olives sur des biscottes d’orge crétoise (paximadi). C’était très bon, frais et sain ! Nous avons en avons eu pour un peu moins de 15€ les deux plats.

C’est le lendemain soir que nous nous sommes rendu compte que l’adresse était conseillée parmi les restaurants du quartier. Avec l’alphabet grec, on a parfois du mal à repérer le nom du lieu.

Jour 2

Le lendemain, dimanche 28 mai, je me suis réveillée et suis allée voir directement à la fenêtre. J’avais bien reconnu le bruit de la pluie… N’ayant pas du tout prévu d’équipements style K-Way ou parapluie (je ne m’attendais pas à ce temps en Grèce à cette période de l’année), nous avons attendu que cela se calme et sommes sortis en fin de matinée seulement.

Nous nous sommes dirigés vers le quartier Psiri, un peu populaire mais on y découvre des coins animés, des artisans, cafés et restaurants, notamment la place Iroon. Toutes les rues du quartier semblent y mener et il y a un choix important de restaurants.

Orea Penteli

Pour se restaurer, nous avons choisi grâce à notre guide Orea Penteli, au n°4 de la place. Il est installé dans une maison début XIXème avec de belles arcades. Après avoir essayé de décrypter le menu (heureusement c’est souvent traduit en anglais… mais ça ne veut pas dire qu’on comprend tout pour autant), nous avons fait notre choix. Une moussaka pour Monsieur et une tarte oignons, épinards et feta pour moi-même, pour moins de 14€. Et le serveur nous a offert le dessert !

Monastiráki

Après notre repas, nous avons rejoint la rue Athinas et la place Monastiraki. Nous avons visiter le quartier du même nom, c’est l’un des plus vieux avec Pláka. La place est très animée, on y aperçoit la mosquée Tzitarakis construite en 1759. En avançant, on a sur notre gauche les hautes colonnes, vestiges de la bibliothèque d’Hadrien. Ensuite on trouve l’agora romaine, ancienne place publique d’Athènes qui était consacrée aux activités marchandes et administratives.

Nous avons contourné les portiques de l’agora, observé la tour des Vents et avons continué notre route vers le quartier Plaka où nous avons pris plaisir à flâner dans les ruelles. Certaines sont calmes, avec de belles demeures, des escaliers et des chats qui dorment. D’autres sont plus animées et plus touristiques avec de nombreuses boutiques de souvenirs, de bijoutiers, d’artisans… Nous sommes ensuite arrivés sur une place avec une grande cathédrale, Megali Mitropoli, achevée en 1842. Il y a aussi à côté une « petite cathédrale », Mikri Mitropoli. Elle date du XIIème siècle et ne mesure pas plus de 7,5m de long.

Nous avons rejoint la rue Ermou, rue commerçante piétonne qui relie Monastiraki et Syngatma. On y trouve toute une série de magasins, de nombreuses marques connues. Avant de rentrer à l’appartement via la rue  Panepistimiou, nous nous sommes baladés dans l’immense jardin national. Il s’étend sur plus de 16ha et est situé juste derrière l’ancien palais royal d’Athènes devenu le siège du Parlement. Le Zappéion est un monument construit dans la seconde moitié du XIXe siècle situé dans le jardin. 

Psiri

Après un temps de repos, nous sommes retournés dans le quartier Psiri. Nous y avons découvert la boutique Alampeis (place Eleftherias), conseillée dans notre guide. On peut y acheter toutes sortes de gourmandises : des fruits secs, amandes, noisettes et bien d’autres choses que je ne connaissais pas. Nous y avons notamment acheté les délicieuses pistaches d’Égine, produit star de l’île, considérée comme la meilleure de Grèce.

On a repris notre marche direction la rue Ermou. Nous nous sommes baladés du côté de l’ancienne Agora, qui était durant l’Antiquité la place principale de la ville d’Athènes. Bien plus loin, en hauteur : l’Acropole !

Dioskouri

Nous avons mangé en terrasse dans la rue Adrianou, au restaurant Dioskouri (n°37) où des musiciens et chanteurs étaient présents. Les tavernes y sont nombreuses, celle-ci était recommandée encore une fois dans mon guide. J’ai choisi des poivrons farcis avec riz et herbes, le plat était noté parmi les spécialités sur la carte (environ 16€).

Un peu plus loin dans la rue, au n°50, les glaces artisanales de Da Vinci nous ont ravis ! Elles sont réalisées avec des produits grecs naturels et m’ont permises de me réconcilier avec la glace à la pistache. Nous avons adoré !

Jour 3 

Pour notre 3ème jour sur place, le lundi 29 mai, nous avons décidé de visiter l’Acropole, « le rocher sacré ». Il est inscrit depuis 1987 au patrimoine mondial de l’humanité.

Nous sommes d’abord retournés au restaurant du 1er soir, Athinaikon. Ensuite, nous avons pris la direction de la rue Stadiou, la place Syntagma puis la rue Amalias qui longe le jardin national. Nous nous sommes arrêtés devant la porte d’Hadrien (qui marquait la porte d’entrée dans la nouvelle Athènes) et l’Olympiéion (temple de Zeus olympien). Il s’agissait du plus grand temple antique d’Athènes, celui de Zeus. Nous sommes alors à environ 500 mètres au sud-est de l’Acropole. Enfin, direction la rue Dionysiou Areopagitou, fermée à la circulation et agréable pour se balader.        

L’Acropole

Un peu plus tard et après avoir payé l’entrée (20€ par personne – tarif adulte), nous voilà prêts à gravir les marches de l’Acropole, classée au Patrimoine mondiale de l’UNESCO. Il peut y avoir un peu d’attente, c’est le site le plus touristique de Grèce et le joyau d’Athènes. Il culmine à plus de 150 mètres de hauteur, bonjour le vent et les cheveux en bataille ! 🙂 Tous les touristes se pressent pour profiter des vestiges antiques et de la vue sur la ville, la mer et les collines d’Athènes.

L’entrée du site par les Propylées met directement dans l’ambiance, avec les escaliers entourés de gigantesques colonnes de marbre. On a bien cette sensation de pénétrer dans un lieu sacré. Les chefs d’œuvre de l’âge d’or y sont concentrés : le Parthénon, le temple d’Athéna Nikè et l’Érechthéion. C’est impressionnant de se dire que les monuments sont là depuis le Vème siècle avant J.-C. Ils ont survécu (plus ou moins bien) au temps, aux guerres, aux catastrophes naturelles…

Le Parthénon (qui était en rénovation lors de notre visite) reste le monument emblématique et incontournable des lieux. Il était consacré à la déesse Athéna et est très imposant et domine tout l’Acropole.

Le temple d’Athéna Nikè est plus petit, il est situé à côté des Propylées. L’Érechthéion est reconnaissable avec les 6 colonnes en forme de femmes (caryatides) soutenant l’édifice. 

Il y a aussi, en contrebas, les théâtres antiques. L’Odéon d’Hérode Atticus, construit à partir de 161, a été rénové. Il continue actuellement à accueillir des spectateurs (5000 places) lors du festival d’Athènes, chaque été. Le théâtre de Dionysos date du Vème siècle avant J.-C. Il est moins bien conservé mais beaucoup plus vaste. Il était le lieu des fêtes de Dionysies, pour le dieu de la vigne et du vin. 

Bougatsadiko Thessaloniki

Nous avons quitté les lieux en nous dirigeant vers le quartier Anafiotika. Nous avons descendu les escaliers direction Plaka puis la place Mitropoleos, la rue Athinas et enfin la place Iroon.

Ensuite petite pause gourmande en terrasse à l’ombre des arbres, un moment sympathique. Nous n’avons pas goûté le café frappé ou café grec mais nous avons pu constater que le café est LA boisson des Athéniens ! En se promenant, on voit énormément de monde en train d’en boire. Nous avons choisi une bougatsa de chez Bougatsadiko Thessaloniki (1 place Iroon). C’est une pâtisserie à pâte feuilletée extrêmement populaire à base de crème vanillée, saupoudrée de sucre glace ou cannelle. 

Tavern Ellinikon

Après un temps de repos à l’appartement, nous sommes ressortis manger dans le quartier Omania. Nous avons choisi le restaurant Tavern Ellinikon (8, Kaningos). Nous nous sommes installés en terrasse, la rue étant piétonne, et avons reçu un très bon accueil du serveur. On a choisi pour ne pas changer une salade grecque et un plat de « fava beans santorini », pour environ 15€. C’est une sorte de purée de pois cassés jaunes qui se déguste avec du pain. La plupart des tavernes ne servent pas de dessert (pas de carte), dommage pour moi ! Mais une assiette de fruits nous a été offerte à la fin du repas. Nous avons également testé l’ouzo, l’autre boisson nationale. C’est un alcool d’anis servi bien frais, pur ou coupé avec de l’eau pour l’allonger (2€ le verre).

Jour 4 

Mardi 30 mai, c’est notre dernier jour sur place. Nous avons pris le métro depuis Omonia (1,40€ le billet en 2017) en direction du Pirée. C’est là que les voyageurs se rendent pour prendre le bateau vers les îles. Le port n’avait pour nous pas beaucoup d’intérêt et nous avons vite fui les lieux où la circulation est importante.

Nous nous sommes dirigés vers l’église de la Sainte-Trinité. C’est une très belle cathédrale orthodoxe (Agia Triada) sublimement décorée sur les façades et à l’intérieur.

Nous avons ensuite vu le théâtre municipal, achevé en 1880, reconnu pour être le « plus bel exemple néoclassique de la ville ».

Nous avons choisi, cette fois au hasard, un restaurant d’une rue piétonne. Celui-ci nous a déçu et quelque peu énervé : accueil froid du serveur, verre sale, plats servis avec plus de 20 minutes de décalage… Bref une déception, la seule du séjour heureusement !

Le port du Pirée

L’après-midi, nous avons longé la rue Akti Moutsopoulou depuis le port de Zéa, rendez-vous des yachts et embarcations de rêve. Nous sommes allés jusqu’au Mikrolimano, le plus petit port, à 30 minutes à pied environ avant de revenir sur nos pas.

Dodoni

C’était la journée la plus chaude et ensoleillée de notre séjour à Athènes. Nous nous sommes arrêtés à Dodoni (10, Akti Moutsopoulou, au niveau du port de Zéa) pour déguster des yaourts grecs glacés (nature et saveur biscuit). On y ajoute la garniture que l’on souhaite : coulis et sauces, fruits rouges, biscuits concassés, etc.) On paye au poids et cela nous est revenu à environ 5€ le pot. J’ai trouvé ça cher par rapport à nos délicieuses glaces de Da Vinci à 2€ l’unité mais c’était très bon.

Nous avons repris le métro en s’arrêtant à l’arrêt Thissio pour nous balader rue Apostolou Pavlou. C’est une rue piétonne qui rejoint Dionysiou Areopagitou et qui propose de jolies vues sur l’Acropole. Des artistes et vendeurs y étaient installés mais je n’ai pas trouvé d’aquarelle à acheter.  Le billet de métro étant valable 90 minutes, nous en avons profité pour retourner à la station pour ne pas rentrer à pied, étant déjà épuisés de notre journée et des kilomètres parcourus.

Ellinikon

Comme d’habitude, nous sommes ressortis après s’être reposés à l’appartement. Nous sommes retournés au restaurant de la veille qui nous a beaucoup plu : Ellinikon. On avait pourtant hésité au moment de choisir ce restaurant mais c’était une très bonne adresse. Nous avons profité de ce dernier repas pour prendre (entre autres) du tzatziki. C’est un mélange de yaourt, concombre et ail pilé avec de l’huile d’olive et de la menthe. C’est bon et c’est frais. Le serveur, très amical et le plus agréable de tous ceux que l’on a eu à Athènes, nous a reconnu. Il nous a offert en plus de l’assiette de fruits deux verres d’ouzo à la fin de notre repas. 

Dernière nuit à Athènes, réveil à 3h15 (2h15 heure française) pour prendre le bus express place Syntagma un peu avant 4h du matin. Après environ 45 minutes de route (sans circulation, avec des dépassements de vitesse et quelques feux grillés, sinon il faut compter facilement 1h en pleine journée), nous sommes arrivés à l’aéroport où nous avons repris l’avion direction Charleroi, puis la voiture pour rentrer en France.

Mon ressenti

Athènes me semblait bien sûr incontournable dans la liste des capitales européennes à visiter mais elle ne m’a pas particulièrement séduite… La visite de l’Acropole qui est passée de 12 à 20€. Les tags partout, moches (mais il y a aussi du street art). Des places qui manquent de charme, des maisons et bâtiments en ruines ou à l’abandon… Cela est sûrement la conséquence de la crise de la dette grecque qui a commencé en 2008 qui a particulièrement touchée la capitale.

Le temps mitigé y est peut-être aussi pour quelque chose, je m’attendais à mieux. Nous sommes partis fin mai afin d’éviter la période touristique. L’unique pantalon que je portais le jour du départ a été bien utile ! J’aurais sûrement plus apprécié le séjour avec du soleil et du ciel bleu chaque jour.

Athènes… la cité des Dieux !

Nous y avons passé du bon temps et avons beaucoup marché, bien mangé, goûté à de nouvelles saveurs… La cuisine y est excellente ! C’est l’une des villes les plus anciennes du monde et ce riche passé se ressent dans chaque recoin de la ville. 

J’ai tout de même aimé Athènes pour…

Son histoire antique, l’Acropole et son emblématique Parthénon, les Propylées, le temple d’Athéna Nikè, l’érechthéion, le théâtre de Dionysos, l’Odéon d’Hérode Atticus, le quartier de Plaka, Monastiraki, Psiri, Syntagma, la relève de la garde, le jardin national, le temple de Zeus (Olympiéion) et la porte d’Hadrien, Le Pirée, sa cathédrale, le port de Zéa, les cafés, la salade grecque, la feta, le tzatzíki, les olives, les pistaches d’Égine, l’ouzo, le yaourt grec (glacé ou pas), les chats…

Il y a également le quartier Anafiotika, les musées et notamment le musée de l’Acropole et le musée national archéologique d’Athènes. Le stade panathénaïque (330 avant J-C.) rénové pour être utilisé comme stade olympique lors des premiers Jeux olympiques en 1896. Vous pouvez aussi grimper la colline de Filoppapos, la colline du Pnyx ou encore la colline Lycabette pour admirer la vue sur la ville. Et pourquoi pas prévoir une excursion sur une île !

Une autre capitale à découvrir ? C’est ici !

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